Le poète au moulin

Publié le 13 Juin 2012

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les livres ouvrent des portes sur les façades tristes

leurs chemins pas à page y déposent l’envie

et moi je me dénude en lignes de non retour

car la farine des mots grommelle à la source

 

des larmes en presse-papier et l’angoisse en eau vive

Rédigé par Carmen Atonati

Publié dans #poésie

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C
et le poéte écrit une douce poésie...suis ravi.........bisesssssssssss<br /> claude
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C
<br /> <br /> Zut, je n'ai pas cliqué où il fallait sur ma réponse à ton précédent commentaire sur une cage de lune. Il est parti à la corbeille. Ce n'était pas volontaire !<br /> <br /> <br /> Merci d'être venu me lire, Claude.<br /> <br /> <br /> Carmen<br /> <br /> <br /> <br />
H
Une musique se glisse parmi les mots, les phrases sont une flûte!<br /> <br /> Hélène*
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C
<br /> <br /> Merci Hélène.<br /> <br /> <br /> J'aime qu'ils chantent ainsi, en toute liberté.<br /> <br /> <br /> Carmen<br /> <br /> <br /> <br />
R
De très beaux mots qui me touchent. les livres pour moi sont comme des amis, ils me permettent de m'évader et d('aller au delà de l'horizon. peutêtre m'aident-ils à faire naître mes propres mots,<br /> ceux qui souvent font s'envoler mes maux...Douce soirée.
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C
<br /> <br /> Lire des phrases, des mots qui font écho à ce que nous ressentons.... c'est ce que permet l'amitié des livres.<br /> <br /> <br /> Bonne soirée à toi aussi.<br /> <br /> <br /> Carmen<br /> <br /> <br /> <br />
U
Les mots aident à s'évader les jours de tristesse , et pour moi la musique aussi est indispensable :)<br /> Bonne fin de soirée !
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C
<br /> <br /> ... s'évader non pas pour fuir, mais pour prendre de la hauteur et aborder la vie avec une énergie stabilisée.<br /> <br /> <br /> Merci d'être venu ici.<br /> <br /> <br /> Carmen<br /> <br /> <br /> <br />
S
Non, non, non... il ya aussi plein de joie dans les livres. A bientôt.
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C
<br /> <br /> Oui, Stéphane, ce court poème s'ouvre sur un vers qui peut surprendre.<br /> <br /> <br /> Je m'explique.<br /> <br /> <br />  Quand notre vie est triste les livres ne sont-ils pas des portes merveilleuses ? Et nos propres mots si vitaux, ne les graverions-nous pas à la force des ongles plutôt que de les<br /> garder murés dans notre for intérieur ? <br /> <br /> <br /> Les mots sont lumière dans la tristesse, et la vie est triste sans leur lumière.<br /> <br /> <br /> <br />