poesie

. L’homme qui marche avance sans pencher — s’il penche ce n’est qu’illusion — Il côtoie toutes les solitudes et connaît la force du vacillement Quelque chose en l...ui, pourtant, se maintient immobile non pas face au monde mais au cœur de celui-ci. ....

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. --------------Un pincement et le son ondule la ligne ________ Une caresse et la peau frissonne sensitive --------------Un jaillissement et la grisaille rutile de l'eau --------------Une giboulée et l'âme des mots ricoche sous la bise d'une note mélancolique...

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(photo Bodvaël Pennarun non libre de droit) . La saison froide confond l’arbre mort et celui dont la sève dort mais au moment de l’éclatement quand les frondaisons clament la renaissance verte portant en bandoulière leur présage de douceur tout du long...

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http://http://lecritoiredesmuses.hautetfort.com/archive/2016/05/07/nuit-celte-land-mer-5798931.html Voici un lien vers L'Ecritoire des Muses. Vous pourrez y lire une chronique sur mon dernier recueil de poésie "Nuit celte, land mer". Cette note a été...

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. Un peu de rêve s'étale fushia gourmande l'étoffe sur femme tant fleur au soleil levant Telle est la promesse de l'aube quand le coeur de concert arrange ses plis et convoque lumière . Carmen P.

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(peinture : Gilles Preton) . Il était une bergère petits patapons tout nus sur l'opulence d'un tapis vert nature où l'instant de grâce s'accorde à la rêverie; La pensée est à l'écriture d'un livre dense fleur de vie ou à la pose consentie à l'artiste....

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Wilson Tan . Le poète avance indigent deux colombes le guident l'une est amour pensant l'autre est nature personnifiée elles suivent la voie de l'air - inattentives au ruisseau vers lequel migre l'infortuné - un ange viendra-t-il le secourir ? . Carmen...

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la nostalgie en noir et blanc . J'aime ces tissus qui nous drapent sans couture, sans fermoir, cette vague qui nous enveloppe de sa blancheur galopante et parcourt le velouté de la peau... nécessairement nue. Le lit est une marge face aux caprices du...

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Amélie Satzger . Charme des chorégraphies quand le naturel les inspire semblables à l'éveil d'un jour sous le regard émerveillé de l'enfant qui nous rêve . Carmen P.

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. les mots pactisent avec la vie jamais ils ne renoncent à éclairer la Terre notre lieu de non résidence l’amour s’érige en poème face à l’étroitesse des chutes . Carmen P.

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