Publié le 8 Juillet 2011
Douleur des mères Au jardin du Thabor nous allions voir les roses et ma grand-mère, chaque été, me disait que, de toutes, j’étais la plus suave. L’amour fuit la maturité elle voilerait sa course D’un mouvement chevrotant de plus en plus lent la vie s’éclipserait...