. Comme Loth sur le chemin de son devenir que le matin blafard encourage. Avancer sans rien retenir, sans inquiétude pour ceux qui nous suivent, même si la curiosité doit les figer dans la plaine où ne restera de la ville que les cendres et l’odeur du...

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. Les chênes libèrent leurs notes ultimes elles tombent sur le jardin endormi le mirabellier découvert les salue. Mon cœur chante fauve il traverse en silence le mur des saisons ... tandis qu'à portée de son passent les oies sauvages. . Carmen P. . et...

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. Le tilleul abandonne l'ambre de sa parure bourdonnante L'été, cloche à saveur miellée... L'hiver, son houppier dénudé dessine en 3D les nervures du futur Carmen P.

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. Il était assez petit, assez poli pour mener une vie de château, il est subitement devenu trop grand, trop laid, bien trop élimé pour qu’on l’impose, à la vue de tous, dans un espace à vivre resserré, mon ours en peluche. Est-ce lui cet être primitif...

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. N'abandonnez pas maintenant les rêves du passé qui ne sont pas encore advenus. Toute matérialisation a besoin de temps pour accumuler la lumière nécessaire à son jaillissement. On se décourage trop souvent- un instant avant le bonheur. Carmen P.

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. Les mots tus savaient les cris... qu’elle mettait dans ses plans. Ses plans, ses pensées, liés en gerbe, comme bouquet garni qu’elle piquait en terre. Attachée à l’enchaînement des saisons elle n’avait plus à s’inquiéter, à se révolter ; la terre serait...

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