Publié le 22 Octobre 2015
. . L'espace infaillible dénoue nos chaînes loin des regards inquiets Carmen P. (pensée noctamplume)
Les mots, comme les couleurs, envaguent mes jours.
Publié le 22 Octobre 2015
. . L'espace infaillible dénoue nos chaînes loin des regards inquiets Carmen P. (pensée noctamplume)
Publié le 22 Octobre 2015
. . La distance entre le coeur et la main attend l'ombre d'un désir... . Carmen P. (pensées noctamplumes)
Publié le 22 Octobre 2015
. . Je viens vers toi je me plie pour toi j'épaule tes courbes dit l'ange, j'élance ta vie en serre mienne. . Carmen P. . photo : Magdalena Berny
Publié le 22 Octobre 2015
. . . ondées de lumière les ocres clouent l'automne sur la peau des êtres . Carmen P. . (photo de Richard Coté)
Publié le 14 Octobre 2015
. . Le vent ouvre l'espace dans le champ du ciel la branche tend son poing au messager noir - le froid éclipse son secret de lumière . Carmen P. . Le poème mis en musique : http://www.le-crayon-du-parolier.com/t11664-seve-heure-automnale
Publié le 7 Octobre 2015
. Le visage de l'aimé comme notre propre reflet dans la vitre nous arrête vivement et déchire l'illusion de la fusion. . . Carmen P. . . photo Vasil Zelenak
Publié le 27 Septembre 2015
. Lorsque je peins, il me faut déposer les armes, avancer avec humilité, accepter de ne peut être pas me trouver devant ce support vierge que j'ai l'intention de "combler" de couleurs. Il y a un obstacle à franchir ; se dépasser soi-même pour atteindre...
Publié le 25 Juillet 2015
. La terre sent le blé et la chaude odeur du pain beurre les soucis du jour- broyés - retombent en pluie de farine . Sur les bords du chemin le vent détrousse le rouge des pétales du coquelicot . Un cygne isolé suit sa voie d’eau Le poète engrange le...
Publié le 27 Mai 2015
. Les impressions légères s’estompent inexorablement tandis que s’incrustent les pierres aux talons des mémoires défaillantes. L’œuvre d’oubli fermera ses volets sur l’inquiétude d’un cœur froncé.... Les pensées amènes flottent, invisibles. Les rancunes...
Publié le 7 Avril 2015
. . On pose ses pas sur des chemins pavés de roc, puis de terre battue, puis sur des planches de bois qui deviennent de plus en plus incertaines jusqu'à ce que nous n'accordions plus de poids aux choses de la vie, alors nous marchons légers, insouciants,...